Le meeting de protestation des organisations musulmanes contre les propos blasphématoires proférés à l’encontre de l’islam, vendredi dernier sur le boulevard de l’Indépendance, a été une véritable démonstration de force.

Des milliers de fidèles ont répondu présent à l’appel du Haut conseil islamique du Mali (HCIM). Les premiers arrivés sur les lieux quelques heures avant ont même effectué la prière collective du vendredi sur place en présence d’un impressionnant dispositif sécuritaire, déployé pour encadrer le rassemblement.

Par cette grande mobilisation, la communauté musulmane entendait susciter une réaction énergique contre ces propos blasphématoires (ce qui est déjà en cours avec la mise à la disposition du parquet du Tribunal de grande instance de la Commune IV de Bamako de six personnes dans cette affaire, la semaine dernière), mais aussi passer un message fort contre tout éventuel dénigrement de l’islam.

Les initiateurs du meeting ont expliqué comprendre le principe de la laïcité et de la liberté d’expression, mais ils ne permettent à personne le droit de proférer des propos blasphématoires contre la religion du prophète Mohamed (Paix et salut sur lui).

Les manifestants brandissaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire des slogans comme : «On ne touche pas à notre religion», «Ne touche pas à mon Coran» et «Plus jamais ça au Mali».

C’est par la lecture du saint Coran que le ton a été donné. Ensuite, dans une déclaration lue par le secrétaire général du HCIM, Mamadou Diamoutani, l’instance islamique a condamné avec la dernière énergie, les actes et propos blasphématoires, blessant dans la foi des fidèles musulmans à travers le monde et qui représentent une menace pour la paix et la stabilité sociale dans notre pays.

Les initiateurs ont tenu à lever toute équivoque sur leur position contre cette offense faite à l’islam. Ils ne souhaitent plus entendre de tels propos d’où tout le sens du slogan : «Plus jamais ça dans notre pays».

Les leaders religieux estiment que la mauvaise compréhension de la laïcité et de la liberté d’expression est à l’origine de ces dérives à l’encontre de l’islam. Ils ont aussi dit avoir apprécié les déclarations de condamnation de ces propos blasphématoires par les autorités de la Transition, et la promptitude des poursuites judiciaires engagées contre l’auteur et ses présumés complices.

Pour une stabilisation sociale, les initiateurs du meeting invitent les autorités à retirer le récépissé de création du «regroupement kaamit», avant d’appeler les médias à ne pas être des vecteurs de transmission de la haine contre l’islam, une religion de paix et de tolérance. Ils ont surtout appelé les musulmans à la retenue, au respect de l’autorité religieuse dans la gestion d’une telle situation, conformément à l’enseignement de l’islam.

L’UNION SACRÉE ET LA PAIX- Pour l’imam Mahmoud Dicko, cette tension «est un constat d’échec pour nous les musulmans». Le religieux a souligné qu’une telle situation traduit un manquement quelque part dans la tâche confiée à eux. «Il y a quelque chose qui ne va pas et cela veut dire qu’on a échoué», a relevé l’imam Dicko tout en ajoutant que la situation doit amener la communauté à changer de mentalité et de comportement.

Rappelant les fondamentaux de la religion, l’imam Dicko a souligné qu’il faut aller au-delà de toutes les considérations, avant d’appeler les fidèles à l’union sacrée et à la paix en laissant de côté les différends. «Ils veulent nous pousser à la faute pour créer le désordre, mais n’acceptons pas», a martelé le président d’honneur.

Pour sa part, le président du HCIM a salué les autorités pour les actions menées dans cette affaire. Il a saisi l’opportunité pour formuler des récriminations contre leur mise à l’écart dans la composition des instances dirigeantes du pays, notamment dans la proposition des membres additifs du Conseil national de la Transition (CNT). Ousmane Chérif Madani Haïdara a également appelé les fidèles à la retenue, au calme et à œuvrer pour l’union et la paix.

Un des symboles forts du meeting a été la poignée de mains entre Ousmane Chérif Madani Haïdara et Mahmoud Dicko qui joignaient ainsi l’acte à la parole en affichant l’entente cordiale au sein de la communauté musulmane. Les deux leaders religieux ont ensuite prôné le pardon et rappelé la nécessité de la cohésion sociale et du vivre ensemble, des valeurs qui définissent le musulman.

La manifestation, qui s’est tenue dans le calme, a duré un peu plus de deux heures d’horloge. Bien encadré par les forces de sécurité, le rassemblement a pris fin par des prières et des bénédictions pour la paix et la stabilité sociale dans le pays. Notons que des manifestations de protestation se sont tenues aussi dans certaines régions.

Le meeting de protestation des organisations musulmanes contre les propos blasphématoires proférés à l’encontre de l’islam, vendredi dernier sur le boulevard de l’Indépendance, a été une véritable démonstration de force.

Des milliers de fidèles ont répondu présent à l’appel du Haut conseil islamique du Mali (HCIM). Les premiers arrivés sur les lieux quelques heures avant ont même effectué la prière collective du vendredi sur place en présence d’un impressionnant dispositif sécuritaire, déployé pour encadrer le rassemblement.

Par cette grande mobilisation, la communauté musulmane entendait susciter une réaction énergique contre ces propos blasphématoires (ce qui est déjà en cours avec la mise à la disposition du parquet du Tribunal de grande instance de la Commune IV de Bamako de six personnes dans cette affaire, la semaine dernière), mais aussi passer un message fort contre tout éventuel dénigrement de l’islam.

Les initiateurs du meeting ont expliqué comprendre le principe de la laïcité et de la liberté d’expression, mais ils ne permettent à personne le droit de proférer des propos blasphématoires contre la religion du prophète Mohamed (Paix et salut sur lui).

Les manifestants brandissaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire des slogans comme : «On ne touche pas à notre religion», «Ne touche pas à mon Coran» et «Plus jamais ça au Mali».

C’est par la lecture du saint Coran que le ton a été donné. Ensuite, dans une déclaration lue par le secrétaire général du HCIM, Mamadou Diamoutani, l’instance islamique a condamné avec la dernière énergie, les actes et propos blasphématoires, blessant dans la foi des fidèles musulmans à travers le monde et qui représentent une menace pour la paix et la stabilité sociale dans notre pays.

Les initiateurs ont tenu à lever toute équivoque sur leur position contre cette offense faite à l’islam. Ils ne souhaitent plus entendre de tels propos d’où tout le sens du slogan : «Plus jamais ça dans notre pays».

Les leaders religieux estiment que la mauvaise compréhension de la laïcité et de la liberté d’expression est à l’origine de ces dérives à l’encontre de l’islam. Ils ont aussi dit avoir apprécié les déclarations de condamnation de ces propos blasphématoires par les autorités de la Transition, et la promptitude des poursuites judiciaires engagées contre l’auteur et ses présumés complices.

Pour une stabilisation sociale, les initiateurs du meeting invitent les autorités à retirer le récépissé de création du «regroupement kaamit», avant d’appeler les médias à ne pas être des vecteurs de transmission de la haine contre l’islam, une religion de paix et de tolérance. Ils ont surtout appelé les musulmans à la retenue, au respect de l’autorité religieuse dans la gestion d’une telle situation, conformément à l’enseignement de l’islam.

L’UNION SACRÉE ET LA PAIX- Pour l’imam Mahmoud Dicko, cette tension «est un constat d’échec pour nous les musulmans». Le religieux a souligné qu’une telle situation traduit un manquement quelque part dans la tâche confiée à eux. «Il y a quelque chose qui ne va pas et cela veut dire qu’on a échoué», a relevé l’imam Dicko tout en ajoutant que la situation doit amener la communauté à changer de mentalité et de comportement.

Rappelant les fondamentaux de la religion, l’imam Dicko a souligné qu’il faut aller au-delà de toutes les considérations, avant d’appeler les fidèles à l’union sacrée et à la paix en laissant de côté les différends. «Ils veulent nous pousser à la faute pour créer le désordre, mais n’acceptons pas», a martelé le président d’honneur.

Pour sa part, le président du HCIM a salué les autorités pour les actions menées dans cette affaire. Il a saisi l’opportunité pour formuler des récriminations contre leur mise à l’écart dans la composition des instances dirigeantes du pays, notamment dans la proposition des membres additifs du Conseil national de la Transition (CNT). Ousmane Chérif Madani Haïdara a également appelé les fidèles à la retenue, au calme et à œuvrer pour l’union et la paix.

Un des symboles forts du meeting a été la poignée de mains entre Ousmane Chérif Madani Haïdara et Mahmoud Dicko qui joignaient ainsi l’acte à la parole en affichant l’entente cordiale au sein de la communauté musulmane. Les deux leaders religieux ont ensuite prôné le pardon et rappelé la nécessité de la cohésion sociale et du vivre ensemble, des valeurs qui définissent le musulman.

Le meeting de protestation des organisations musulmanes contre les propos blasphématoires proférés à l’encontre de l’islam, vendredi dernier sur le boulevard de l’Indépendance, a été une véritable démonstration de force.

Des milliers de fidèles ont répondu présent à l’appel du Haut conseil islamique du Mali (HCIM). Les premiers arrivés sur les lieux quelques heures avant ont même effectué la prière collective du vendredi sur place en présence d’un impressionnant dispositif sécuritaire, déployé pour encadrer le rassemblement.

Par cette grande mobilisation, la communauté musulmane entendait susciter une réaction énergique contre ces propos blasphématoires (ce qui est déjà en cours avec la mise à la disposition du parquet du Tribunal de grande instance de la Commune IV de Bamako de six personnes dans cette affaire, la semaine dernière), mais aussi passer un message fort contre tout éventuel dénigrement de l’islam.

Les initiateurs du meeting ont expliqué comprendre le principe de la laïcité et de la liberté d’expression, mais ils ne permettent à personne le droit de proférer des propos blasphématoires contre la religion du prophète Mohamed (Paix et salut sur lui).

Les manifestants brandissaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire des slogans comme : «On ne touche pas à notre religion», «Ne touche pas à mon Coran» et «Plus jamais ça au Mali».

C’est par la lecture du saint Coran que le ton a été donné. Ensuite, dans une déclaration lue par le secrétaire général du HCIM, Mamadou Diamoutani, l’instance islamique a condamné avec la dernière énergie, les actes et propos blasphématoires, blessant dans la foi des fidèles musulmans à travers le monde et qui représentent une menace pour la paix et la stabilité sociale dans notre pays.

Les initiateurs ont tenu à lever toute équivoque sur leur position contre cette offense faite à l’islam. Ils ne souhaitent plus entendre de tels propos d’où tout le sens du slogan : «Plus jamais ça dans notre pays».

Les leaders religieux estiment que la mauvaise compréhension de la laïcité et de la liberté d’expression est à l’origine de ces dérives à l’encontre de l’islam. Ils ont aussi dit avoir apprécié les déclarations de condamnation de ces propos blasphématoires par les autorités de la Transition, et la promptitude des poursuites judiciaires engagées contre l’auteur et ses présumés complices.

Pour une stabilisation sociale, les initiateurs du meeting invitent les autorités à retirer le récépissé de création du «regroupement kaamit», avant d’appeler les médias à ne pas être des vecteurs de transmission de la haine contre l’islam, une religion de paix et de tolérance. Ils ont surtout appelé les musulmans à la retenue, au respect de l’autorité religieuse dans la gestion d’une telle situation, conformément à l’enseignement de l’islam.

L’UNION SACRÉE ET LA PAIX- Pour l’imam Mahmoud Dicko, cette tension «est un constat d’échec pour nous les musulmans». Le religieux a souligné qu’une telle situation traduit un manquement quelque part dans la tâche confiée à eux. «Il y a quelque chose qui ne va pas et cela veut dire qu’on a échoué», a relevé l’imam Dicko tout en ajoutant que la situation doit amener la communauté à changer de mentalité et de comportement.

Rappelant les fondamentaux de la religion, l’imam Dicko a souligné qu’il faut aller au-delà de toutes les considérations, avant d’appeler les fidèles à l’union sacrée et à la paix en laissant de côté les différends. «Ils veulent nous pousser à la faute pour créer le désordre, mais n’acceptons pas», a martelé le président d’honneur.

Pour sa part, le président du HCIM a salué les autorités pour les actions menées dans cette affaire. Il a saisi l’opportunité pour formuler des récriminations contre leur mise à l’écart dans la composition des instances dirigeantes du pays, notamment dans la proposition des membres additifs du Conseil national de la Transition (CNT). Ousmane Chérif Madani Haïdara a également appelé les fidèles à la retenue, au calme et à œuvrer pour l’union et la paix.

Un des symboles forts du meeting a été la poignée de mains entre Ousmane Chérif Madani Haïdara et Mahmoud Dicko qui joignaient ainsi l’acte à la parole en affichant l’entente cordiale au sein de la communauté musulmane. Les deux leaders religieux ont ensuite prôné le pardon et rappelé la nécessité de la cohésion sociale et du vivre ensemble, des valeurs qui définissent le musulman.

La manifestation, qui s’est tenue dans le calme, a duré un peu plus de deux heures d’horloge. Bien encadré par les forces de sécurité, le rassemblement a pris fin par des prières et des bénédictions pour la paix et la stabilité sociale dans le pays. Notons que des manifestations de protestation se sont tenues aussi dans certaines régions.

La manifestation, qui s’est tenue dans le calme, a duré un peu plus de deux heures d’horloge. Bien encadré par les forces de sécurité, le rassemblement a pris fin par des prières et des bénédictions pour la paix et la stabilité sociale dans le pays. Notons que des manifestations de protestation se sont tenues aussi dans certaines régions.

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