La synergie des syndicats de la police nationale dit avoir appris avec stupéfaction comme l’ensemble des fonctionnaires de police l’adoption d’un projet de loi portant militarisation de la police nationale, selon un communiqué rendu public le mercredi 19 octobre.

« Le projet de loi portant militarisation de la police nationale, bien qu’une recommandation des assises nationales de la refondation (ANR) n’ait fait l’objet d’aucune consultation des acteurs concernés », regrette la synergie des syndicats de la police nationale dans un communiqué en date du mardi 18 octobre, consulté par maliweb.net.

« Ce projet qui va désormais gouverner la vie de toute une corporation est porté de manière unilatérale, sans faire de discussion en conseil supérieur de la police », dénonce la synergie des syndicats de la police nationale. Malgré son caractère unilatéral, la police nationale dans son ensemble est prête à apporter sa pierre à la refondation de l’Etat, si cela passe obligatoirement par sa militarisation.

Elle rappelle que la « police est présente sur les théâtres d’opération partout sur le territoire national et participe à la défense opérationnelle du territoire, mission qui en temps normal est dévolue à l’armée ». Ce projet de loi dont le  Conseil national de la transition (CNT) s’apprête à se prononcer dessus n’est donc que la « matérialisation de ce qui se fait déjà sur le terrain », insiste la synergie dans son communiqué.

Toutefois, la synergie des syndicats de la police nationale reste dubitative sur beaucoup de zones d’ombre qui émaillent les contours liés à ce projet. Afin d’aplanir les différends, la police nationale, à travers la synergie des syndicats, a participé à la séance d’écoute sur invitation de la commission loi du CNT et a fait plusieurs propositions.

Il s’agit de la nécessité d’un renvoi pour mener des discussions préalables afin d’aboutir à un projet consensuel dont les contours seront déjà connus avant l’adoption ; la préservation des acquis en matière d’avantage, surtout l’architecture de la police en la dotant d’un statut militaire spécial car la police à ses spécificités et les avantages liés à ses spécificités doivent être impérativement préservés ; les garanties en amont du maintien des Corps et Grades en ayant des équivalences avec ceux de l’armée afin d’avoir une grille harmonisée dans le nouveau statut.

« Ce qui est sûr, si cette militarisation émane du peuple, ce même peuple demandera la démilitarisation un jour, car la démocratie ne rime pas avec une police militarisée », prophétise la synergie des syndicats de la police nationale dans son communiqué.

La synergie des syndicats de la police nationale dit avoir appris avec stupéfaction comme l’ensemble des fonctionnaires de police l’adoption d’un projet de loi portant militarisation de la police nationale, selon un communiqué rendu public le mercredi 19 octobre.

« Le projet de loi portant militarisation de la police nationale, bien qu’une recommandation des assises nationales de la refondation (ANR) n’ait fait l’objet d’aucune consultation des acteurs concernés », regrette la synergie des syndicats de la police nationale dans un communiqué en date du mardi 18 octobre, consulté par maliweb.net.

« Ce projet qui va désormais gouverner la vie de toute une corporation est porté de manière unilatérale, sans faire de discussion en conseil supérieur de la police », dénonce la synergie des syndicats de la police nationale. Malgré son caractère unilatéral, la police nationale dans son ensemble est prête à apporter sa pierre à la refondation de l’Etat, si cela passe obligatoirement par sa militarisation.

Elle rappelle que la « police est présente sur les théâtres d’opération partout sur le territoire national et participe à la défense opérationnelle du territoire, mission qui en temps normal est dévolue à l’armée ». Ce projet de loi dont le  Conseil national de la transition (CNT) s’apprête à se prononcer dessus n’est donc que la « matérialisation de ce qui se fait déjà sur le terrain », insiste la synergie dans son communiqué.

Toutefois, la synergie des syndicats de la police nationale reste dubitative sur beaucoup de zones d’ombre qui émaillent les contours liés à ce projet. Afin d’aplanir les différends, la police nationale, à travers la synergie des syndicats, a participé à la séance d’écoute sur invitation de la commission loi du CNT et a fait plusieurs propositions.

Il s’agit de la nécessité d’un renvoi pour mener des discussions préalables afin d’aboutir à un projet consensuel dont les contours seront déjà connus avant l’adoption ; la préservation des acquis en matière d’avantage, surtout l’architecture de la police en la dotant d’un statut militaire spécial car la police à ses spécificités et les avantages liés à ses spécificités doivent être impérativement préservés ; les garanties en amont du maintien des Corps et Grades en ayant des équivalences avec ceux de l’armée afin d’avoir une grille harmonisée dans le nouveau statut.

La synergie des syndicats de la police nationale dit avoir appris avec stupéfaction comme l’ensemble des fonctionnaires de police l’adoption d’un projet de loi portant militarisation de la police nationale, selon un communiqué rendu public le mercredi 19 octobre.

« Le projet de loi portant militarisation de la police nationale, bien qu’une recommandation des assises nationales de la refondation (ANR) n’ait fait l’objet d’aucune consultation des acteurs concernés », regrette la synergie des syndicats de la police nationale dans un communiqué en date du mardi 18 octobre, consulté par maliweb.net.

« Ce projet qui va désormais gouverner la vie de toute une corporation est porté de manière unilatérale, sans faire de discussion en conseil supérieur de la police », dénonce la synergie des syndicats de la police nationale. Malgré son caractère unilatéral, la police nationale dans son ensemble est prête à apporter sa pierre à la refondation de l’Etat, si cela passe obligatoirement par sa militarisation.

Elle rappelle que la « police est présente sur les théâtres d’opération partout sur le territoire national et participe à la défense opérationnelle du territoire, mission qui en temps normal est dévolue à l’armée ». Ce projet de loi dont le  Conseil national de la transition (CNT) s’apprête à se prononcer dessus n’est donc que la « matérialisation de ce qui se fait déjà sur le terrain », insiste la synergie dans son communiqué.

Toutefois, la synergie des syndicats de la police nationale reste dubitative sur beaucoup de zones d’ombre qui émaillent les contours liés à ce projet. Afin d’aplanir les différends, la police nationale, à travers la synergie des syndicats, a participé à la séance d’écoute sur invitation de la commission loi du CNT et a fait plusieurs propositions.

Il s’agit de la nécessité d’un renvoi pour mener des discussions préalables afin d’aboutir à un projet consensuel dont les contours seront déjà connus avant l’adoption ; la préservation des acquis en matière d’avantage, surtout l’architecture de la police en la dotant d’un statut militaire spécial car la police à ses spécificités et les avantages liés à ses spécificités doivent être impérativement préservés ; les garanties en amont du maintien des Corps et Grades en ayant des équivalences avec ceux de l’armée afin d’avoir une grille harmonisée dans le nouveau statut.

« Ce qui est sûr, si cette militarisation émane du peuple, ce même peuple demandera la démilitarisation un jour, car la démocratie ne rime pas avec une police militarisée », prophétise la synergie des syndicats de la police nationale dans son communiqué.

« Ce qui est sûr, si cette militarisation émane du peuple, ce même peuple demandera la démilitarisation un jour, car la démocratie ne rime pas avec une police militarisée », prophétise la synergie des syndicats de la police nationale dans son communiqué.

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