Alousséni Sanou

La Banque mondiale a approuvé un crédit de l’Association internationale de développement (IDA) d’un montant de 30 millions de dollars soit environ 20 milliards de Fcfa alloués au Mali.

Objectifs, selon un communiqué qui l’a annoncé, améliorer la productivité agricole et renforcer la résilience des ménages ruraux vivant dans les zones arides ciblées.
Il s’agit là d’un financement additionnel au titre du Projet de développement de la productivité et de la diversification agricole dans les zones arides du Mali (Pdazam). Ce fonds additionnel arrive quelques jours après le lancement de la 27ème Conférence des parties sur le changement climatique (COP 27) à Sharm-el-Sheik en Égypte.

Il s’inscrit dans les objectifs de la Banque mondiale visant à renforcer la production et la résilience des systèmes alimentaires, faciliter les échanges commerciaux, développer des chaînes de valeur inclusives et soutenir les ménages vulnérables ainsi que les producteurs, précise le document de deux pages. Qui ajoute qu’il couvrira les coûts d’une réponse d’urgence à l’insécurité alimentaire ainsi que ceux occasionnés par les pressions inflationnistes, dues en partie à la crise ukrainienne et à l’insécurité.

Les activités du Projet ciblent les pauvres et les personnes vulnérables y compris les femmes les jeunes, et les personnes déplacées à l’intérieur du pays, explique le document. «Ces ressources supplémentaires augmenteront le nombre de ménages bénéficiaires de transferts monétaires directs de plus de 40.000 à 193.000 ménages et contribueront à atténuer l’insécurité alimentaire dans laquelle ils se trouvent», explique Clara De Sousa.

La directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Mali précise que les femmes jouant un rôle dominant dans l’agriculture de subsistance et dans la vente d’aliments transformés sur les marchés ruraux et urbains, les ménages qu’elles dirigent ainsi que les agricultrices seront ciblés pour amplifier les bénéfices du projet.

Avec ce fonds additionnel, le Pdazam pourra couvrir un plus grand nombre de bénéficiaires éligibles dans la zone d’intervention, selon la note d’information. Notamment les Régions de Kayes, Koulikoro, Ségou et Mopti, et ailleurs en cas de déclaration de crise alimentaire. L’Association internationale de développement est l’institution de la Banque mondiale qui aide les pays les plus pauvres de la planète.

Fondée en 1960, cette institution accorde des dons et des prêts à taux faible ou nul pour financer des projets et des programmes de nature à stimuler la croissance économique, réduire la pauvreté et améliorer la vie des plus démunis.

La Banque mondiale a approuvé un crédit de l’Association internationale de développement (IDA) d’un montant de 30 millions de dollars soit environ 20 milliards de Fcfa alloués au Mali.

Objectifs, selon un communiqué qui l’a annoncé, améliorer la productivité agricole et renforcer la résilience des ménages ruraux vivant dans les zones arides ciblées.
Il s’agit là d’un financement additionnel au titre du Projet de développement de la productivité et de la diversification agricole dans les zones arides du Mali (Pdazam). Ce fonds additionnel arrive quelques jours après le lancement de la 27ème Conférence des parties sur le changement climatique (COP 27) à Sharm-el-Sheik en Égypte.

Il s’inscrit dans les objectifs de la Banque mondiale visant à renforcer la production et la résilience des systèmes alimentaires, faciliter les échanges commerciaux, développer des chaînes de valeur inclusives et soutenir les ménages vulnérables ainsi que les producteurs, précise le document de deux pages. Qui ajoute qu’il couvrira les coûts d’une réponse d’urgence à l’insécurité alimentaire ainsi que ceux occasionnés par les pressions inflationnistes, dues en partie à la crise ukrainienne et à l’insécurité.

Les activités du Projet ciblent les pauvres et les personnes vulnérables y compris les femmes les jeunes, et les personnes déplacées à l’intérieur du pays, explique le document. «Ces ressources supplémentaires augmenteront le nombre de ménages bénéficiaires de transferts monétaires directs de plus de 40.000 à 193.000 ménages et contribueront à atténuer l’insécurité alimentaire dans laquelle ils se trouvent», explique Clara De Sousa.

La directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Mali précise que les femmes jouant un rôle dominant dans l’agriculture de subsistance et dans la vente d’aliments transformés sur les marchés ruraux et urbains, les ménages qu’elles dirigent ainsi que les agricultrices seront ciblés pour amplifier les bénéfices du projet.

Avec ce fonds additionnel, le Pdazam pourra couvrir un plus grand nombre de bénéficiaires éligibles dans la zone d’intervention, selon la note d’information. Notamment les Régions de Kayes, Koulikoro, Ségou et Mopti, et ailleurs en cas de déclaration de crise alimentaire. L’Association internationale de développement est l’institution de la Banque mondiale qui aide les pays les plus pauvres de la planète.

La Banque mondiale a approuvé un crédit de l’Association internationale de développement (IDA) d’un montant de 30 millions de dollars soit environ 20 milliards de Fcfa alloués au Mali.

Objectifs, selon un communiqué qui l’a annoncé, améliorer la productivité agricole et renforcer la résilience des ménages ruraux vivant dans les zones arides ciblées.
Il s’agit là d’un financement additionnel au titre du Projet de développement de la productivité et de la diversification agricole dans les zones arides du Mali (Pdazam). Ce fonds additionnel arrive quelques jours après le lancement de la 27ème Conférence des parties sur le changement climatique (COP 27) à Sharm-el-Sheik en Égypte.

Il s’inscrit dans les objectifs de la Banque mondiale visant à renforcer la production et la résilience des systèmes alimentaires, faciliter les échanges commerciaux, développer des chaînes de valeur inclusives et soutenir les ménages vulnérables ainsi que les producteurs, précise le document de deux pages. Qui ajoute qu’il couvrira les coûts d’une réponse d’urgence à l’insécurité alimentaire ainsi que ceux occasionnés par les pressions inflationnistes, dues en partie à la crise ukrainienne et à l’insécurité.

Les activités du Projet ciblent les pauvres et les personnes vulnérables y compris les femmes les jeunes, et les personnes déplacées à l’intérieur du pays, explique le document. «Ces ressources supplémentaires augmenteront le nombre de ménages bénéficiaires de transferts monétaires directs de plus de 40.000 à 193.000 ménages et contribueront à atténuer l’insécurité alimentaire dans laquelle ils se trouvent», explique Clara De Sousa.

La directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Mali précise que les femmes jouant un rôle dominant dans l’agriculture de subsistance et dans la vente d’aliments transformés sur les marchés ruraux et urbains, les ménages qu’elles dirigent ainsi que les agricultrices seront ciblés pour amplifier les bénéfices du projet.

Avec ce fonds additionnel, le Pdazam pourra couvrir un plus grand nombre de bénéficiaires éligibles dans la zone d’intervention, selon la note d’information. Notamment les Régions de Kayes, Koulikoro, Ségou et Mopti, et ailleurs en cas de déclaration de crise alimentaire. L’Association internationale de développement est l’institution de la Banque mondiale qui aide les pays les plus pauvres de la planète.

La Banque mondiale a approuvé un crédit de l’Association internationale de développement (IDA) d’un montant de 30 millions de dollars soit environ 20 milliards de Fcfa alloués au Mali.

Objectifs, selon un communiqué qui l’a annoncé, améliorer la productivité agricole et renforcer la résilience des ménages ruraux vivant dans les zones arides ciblées.
Il s’agit là d’un financement additionnel au titre du Projet de développement de la productivité et de la diversification agricole dans les zones arides du Mali (Pdazam). Ce fonds additionnel arrive quelques jours après le lancement de la 27ème Conférence des parties sur le changement climatique (COP 27) à Sharm-el-Sheik en Égypte.

Il s’inscrit dans les objectifs de la Banque mondiale visant à renforcer la production et la résilience des systèmes alimentaires, faciliter les échanges commerciaux, développer des chaînes de valeur inclusives et soutenir les ménages vulnérables ainsi que les producteurs, précise le document de deux pages. Qui ajoute qu’il couvrira les coûts d’une réponse d’urgence à l’insécurité alimentaire ainsi que ceux occasionnés par les pressions inflationnistes, dues en partie à la crise ukrainienne et à l’insécurité.

Les activités du Projet ciblent les pauvres et les personnes vulnérables y compris les femmes les jeunes, et les personnes déplacées à l’intérieur du pays, explique le document. «Ces ressources supplémentaires augmenteront le nombre de ménages bénéficiaires de transferts monétaires directs de plus de 40.000 à 193.000 ménages et contribueront à atténuer l’insécurité alimentaire dans laquelle ils se trouvent», explique Clara De Sousa.

La directrice des opérations de la Banque mondiale pour le Mali précise que les femmes jouant un rôle dominant dans l’agriculture de subsistance et dans la vente d’aliments transformés sur les marchés ruraux et urbains, les ménages qu’elles dirigent ainsi que les agricultrices seront ciblés pour amplifier les bénéfices du projet.

Avec ce fonds additionnel, le Pdazam pourra couvrir un plus grand nombre de bénéficiaires éligibles dans la zone d’intervention, selon la note d’information. Notamment les Régions de Kayes, Koulikoro, Ségou et Mopti, et ailleurs en cas de déclaration de crise alimentaire. L’Association internationale de développement est l’institution de la Banque mondiale qui aide les pays les plus pauvres de la planète.

Fondée en 1960, cette institution accorde des dons et des prêts à taux faible ou nul pour financer des projets et des programmes de nature à stimuler la croissance économique, réduire la pauvreté et améliorer la vie des plus démunis.

Fondée en 1960, cette institution accorde des dons et des prêts à taux faible ou nul pour financer des projets et des programmes de nature à stimuler la croissance économique, réduire la pauvreté et améliorer la vie des plus démunis.

Fondée en 1960, cette institution accorde des dons et des prêts à taux faible ou nul pour financer des projets et des programmes de nature à stimuler la croissance économique, réduire la pauvreté et améliorer la vie des plus démunis.

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