L’article met en lumière la disparition des partis politiques de la scène malienne depuis plus de deux ans, créant un vide qui pèse sur la dynamique politique et la cohésion nationale. Ces partis, qui ont pour mission d’animer les débats publics et de se prononcer sur les grandes orientations du pays, sont actuellement absents, ce qui aggrave la situation déjà critique du Mali, marqué par les attaques terroristes et une instabilité généralisée.

La Transition militaire en cours se concentre sur la restauration de l’autorité de l’État sur l’ensemble du territoire national, notamment pour garantir la sécurité et permettre le redéploiement de l’administration. Toutefois, l’absence des partis politiques, qui devraient participer aux réflexions et proposer des solutions, se fait sentir.

L’article insiste sur l’importance du retour des partis politiques pour accompagner la Transition et contribuer à la cohésion nationale et à la paix sociale. Leur retour est essentiel pour préparer la suite, car inévitablement, ce sont les partis politiques qui prendront le relais de la gestion du pays après la Transition, bien que les figures politiques puissent changer. Sans cela, la gestion du pays sans partis politiques semble insoutenable à long terme.

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